“Personne ne monte dans un train sans en connaître la destination.”
That’s what they say…
J’ai dû entendre ça – en version anglaise – sur un podcast à propos des podcasts…
L’idée est toute bête : soyez clair avec votre audience sur ce que vous leur proposez et sur les bénéfices qu’ils pourront en tirer.
Alors, entrons dans le vif du sujet.
Il est de ma responsabilité de vous dire où vous mettez les oreilles.
Nemrod, une histoire pour les enfants de quel âge ?
Nemrod est une histoire s’adressant plutôt aux enfants de 7 à 11 ans. En anglais, on parlerait du segment “middle grade”.
N’ayant aucune expérience antérieure dans le domaine de la littérature jeunesse, je ne fais que supputer et je peux tout à fait me tromper.
Et puis il parait qu’avec Youtube, Instagram, TikTok et les hormones dans le Happy Meal, les enfants deviennent ado plus tôt qu’avant…
Enfin, j’espère que les parents aussi prendront du plaisir à suivre les aventures de notre petit renard.
J’ai hâte d’avoir votre retour sur ce point.
Où et comment écouter Nemrod ?
Nemrod est disponible sur les principales plateformes d’écoutes :
- Apple Podcast
- Spotify
- Deezer
- Google Podcast
Nemrod est aussi disponible sur Youtube.
Et vous pouvez écouter Nemrod directement sur le site www.nemrod.io.
Le mieux si vous souhaitez suivre la saga, c’est de vous abonner à la newsletter.
Combien de temps dure un épisode ?
Un épisode dure une dizaine de minutes.
À quelle fréquence sortent les épisodes ?
Pendant au moins un an, nous sortirons un épisode chaque dimanche.
Si l’on ajoute les trois premiers épisodes disponibles dès le lancement, cela fera 55 épisodes.
Nous aurons donc autour de 550 minutes d’audio à l’issue de la première année, soit un peu plus de 9h. De quoi couvrir un trajet Strasbourg-Brest en voiture avec les enfants.
Chaque épisode correspond à un texte d’environ 1350 mots. La saison complète comptera autour de 75.000 mots, l’équivalent d’un livre de 300 pages.
Dans quelles circonstances écouter Nemrod ?
Difficile de répondre à cette question a priori… C’est vous qui me le direz.
Puisque je dois quand même faire des hypothèses, voici les cas d’usages que j’ai identifiés :
- Le trajet en voiture en famille
- Dans la chambre avant de se coucher
- Dans le salon avec les amis, frères et sœurs
Ça parle de quoi ?
Je n’ai pas tellement envie de vous faire un résumé ici.
Écoutez les 3 premiers épisodes, ça vous donnera déjà une idée de l’esprit du truc.
Quel est le niveau de langage ?
C’est une histoire pour les enfants, il n’y a pas de gros mots ou de langage “explicit”.
En revanche, je ne me suis pas bridé sur le vocabulaire. Ça serait dommage, les enfants aiment tant apprendre de nouveaux mots.
Pareil pour la conjugaison. J’utilise toute la gamme de la langue française. Et si c’est l’imparfait du subjonctif qui sort, c’est qu’il fallait qu’il sorte. Ça ne rendra personne malade.
L’histoire est-elle déjà écrite ?
Si seulement……
Hélas, non, l’histoire n’est pas encore écrite. Je tâcherai d’avoir toujours 4 épisodes d’avance (l’équivalent d’un mois) afin de pouvoir encaisser les fameux impondérables de la vie.
Je me prive donc des retouches a posteriori et des aller-retours dans le texte. M’en sortirai-je ainsi ? Je n’en sais rien, mais ça a le mérite de me mettre une saine pression – pour ne pas dire un gros coup de pied au cul.
Quoi qu’il arrive, ne vous en faites pas, je ne demanderai pas votre indulgence.
Peut-on prendre l’histoire en route ?
On peut, mais je vous conseille vivement de commencer par le début.
Et à l’issue de cette première année ?
Ça dépendra de vous. Si le nombre d’écoutes le justifie, je continuerai. Mais alors, il faudra trouver un modèle économique.
Si cette question vous intéresse, j’ai écrit un billet sur ce sujet. J’y détaille les différentes pistes que j’envisage pour pouvoir monétiser ce projet, afin de pouvoir en vivre un jour.
Si vous avez d’autres questions, contactez-moi ici.
Je me ferai un plaisir de vous répondre.
Voilà, maintenant, vous savez.
Sornac
